Au cœur de l’aveuglementtu observes ton monde,Dans les turbulences sans fin,
Tu révèles ton immuable stabilité à celui qui te cherche,
Dans mon impuissance à vivre ton absolu,
Tu t’émerveilles à travers moi des limites,
que tu as imposées à ton éternité,
Je me suis en vain cherché,
Qu’aurais-je pus découvrir si ce n’est toi …
Je me suis cru exister et vivre ma vie,
Qu’aurait-il pu exister d’autre que toi …
Je suis encore si jeune, toi qui est de toute éternité,
Mais quand tu te révèles dans mon cœur,
Quel cadeau de découvrir ta jeunesse infinie …
François Breton