Qui suis-je ?

Mon parcours de vie

François Breton

Fruit d’un long parcours initiatique personnel et d’années de voyages, de rencontres d’initiés et de Maîtres spirituels – de la cordillère des Andes jusqu’aux richesses profondes de l’Inde ancienne – son expérience personnelle lui permet aujourd’hui de faire le lien entre de nombreuses traditions et de pouvoir partager l’essence de ces pratiques et de ces multiples enseignements spirituels.

Ses pratiques initiatiques et spirituelles depuis de nombreuses années, sa sensibilité et son métier de jardinier paysagiste lui ont permis d’approfondir ce contact avec les mondes subtils et de comprendre la richesse d’une collaboration consciente avec les esprits de la nature, les enseignants et guides de lumière par qui, il est accompagné et enseigné depuis très longtemps.

C’est avec le cœur et évidence, qu’aujourd’hui il accompagne les autres vers un retour profond et sincère vers son véritable Soi.

Une inspiration

Je suis né en 1976 et ai passé mon enfance en terres bretonnes. Mais pas dans une petite chaumière dans le coeur sacré de la forêt de Brocéliande !

Pourtant, ça aurait pu être une parfaite introduction !
Mais bon…en tous cas, cette terre a su commencer à m’initier à ce vers quoi mes aspirations les plus profondes me poussaient inéluctablement…

Habité par une profonde envie de mieux connaître la vie, il a toujours été très difficile pour moi d’accepter une seule vision des choses ou d’entrer dans un système tout établi sans pouvoir explorer par moi-même les différentes facettes de la vie. Cela me valut d’ailleurs – bien que je fus un très bon élève à l’école – des difficultés avec le système scolaire et un décalage avec ce qui m’y était proposé.

A vrai dire, je pense que c’est de plus en plus courant chez les enfants dits « précoces » qu’ils ne se reconnaissent pas dans le système éducatif d’aujourd’hui !

La vie choisi à mes dépends de me faire vivre alors que j’étais en 5 ème, deux incidents graves à caractère raciste avec des professeurs et certains élèves. Cela me fit perdre confiance en une certaine justice de ce système.

Je me disais que la vie pouvait bien proposer autre chose que ce qui se présentait à moi jusqu’alors .

C’est à ce moment-là que j’ai décidé d’explorer d’autres univers, d’autres manières de voir les choses.

Cela fut aussi aux dépends de ma réussite scolaire ! Mais quelque chose en moi voulait respirer et entrevoir d’autres visions et façons d’expérimenter la vie.

Une envie d’ailleurs

Je me souviens encore, lorsque j’avais 15 ans, de soirées dans la forêt où je m’habillais avec des plumes et des peaux de bêtes et jouait de la guitare et des percussions toute la nuit avec mes amis. Il est vrai que le cliché fait un peu hippie !

Mais à vrai dire je n’en étais pas loin et nos activités, un peu marginales certes, étaient au fond animées d’une intention encore fraîche et maladroite de nous unir et de « vibrer » au mieux avec ce que nous connaissions de la nature.

Il est vrai qu’ à cette époque, mes seules envies tendaient vers l’apprentissage de l’école buissonnière et sans m’en rendre compte, les buissons étaient rapidement devenus forêt !
Malgré mon potentiel, mon manque d’intérêt pour l’école avait pris une proportion telle, que plus grand chose n’avait d’ importance et j’avais l’intime conviction que ce n’était pas sur ce sentier déjà tout tracé que la vie à laquelle j’aspirais m’attendait …

La forêt se densifiait au fur et à mesure des rencontres…
Pourtant mon envie d’apprendre était grande et bien que je ne savais pas ce que je voulais, je savais ce que je ne désirais plus ! Je voulais découvrir la magie de la vie et pour cela je devais découvrir d’autres horizons pour mieux apprendre à me connaître.

Une expérience initiatique

Alors que j’étais encore mineur, je décidais de quitter le foyer familial et de partir à l’aventure; je parcouru ainsi le pays et l’étranger et découvris bien d’autres façons de vivre et de voir les choses.

A cette époque, je ne me doutais pas de ce que je faisais vivre à mes parents qui, par respect et ouverture d’esprit me laissèrent faire mon expérience… Enfin… je crois que j’étais devenu leur cauchemar à moi tout seul !

Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu une profonde aspiration mystique et une envie de découvrir ce qui pouvait être au-delà de la réalité commune et ordinairement acceptée.
Dans le sud de la France, je fis la connaissance d’un vieil ermite qui vivait dans une grotte et accepta de m’accueillir dans la forêt dans laquelle il vivait.

Pour accéder à ce petit lieu magique nous devions marcher, depuis la plus petite route accessible en voiture, plus d’une journée à pied. Je restai à ses cotés presque 1 an et demi et appris à vivre en autarcie dans le plus succint minimum vital.

Cette expérience bien qu’elle fut très initiatique me montra aussi à quel point nous ne sommes rien sans les autres.
Ce fut une période riche et également une ouverture sur certains mystères de la nature.

Je me levais à 5 heures tous les matins et allais me laver à la rivière avant d’aller préparer le feu. Nous prenions ensuite le temps de partager des points de vue sur la vie et je me mettais ensuite au travail pour la journée entière.

Cette vie était loin de l’oisiveté et du confort quotidien que nous connaissons ordinairement dans notre société et elle eut l’intérêt de me faire réaliser le profond lien que j’avais avec la nature ainsi que l’envie de percer plus profondément ses secrets.

Une rencontre

Cette période me permit de me retrouver et je décidais de revenir en Bretagne reprendre mes études pour travailler proche de la nature. Je choisis alors d’entreprendre des études de jardinier paysagiste.

Ce travail était devenu une passion et je dévorais tout ce qui avait trait au végétal et au fonctionnement de l’éco-système naturel.

A 19 ans, la vie m’offrit alors un cadeau que je considère aujourd’hui comme inestimable. Je retrouvais deux amis d’enfance qui avaient alors entrepris un chemin initiatique avec un guide depuis quelques années et qui m’invitèrent à prendre part à cette initiation avec eux.

Ces pratiques initiatiques chamaniques étaient très puissantes et efficaces. Elles me rendaient autonome, m’ouvraient sur des perceptions nouvelles et je commençais enfin à percevoir l’extra-ordinaire que je cherchais.

Comme certaines personnes qui ont une passion (les voitures, la mode, le sport …) quand ils sont jeunes, ces pratiques devinrent la mienne et elles occupèrent une grande partie de mon temps.

Je pratiquais plusieurs heures par jour, me levais tôt et partais parfois tout le week end en forêt pour pratiquer. Et lorsque je ne travaillais pas, j’accordais toute la journée à ces pratiques.
Ces exercices comprenaient des fixations du soleil, des balancements et girations du corps, un travail sur le rythme et la pensée rythmée, des exercices de concentration ainsi que des marches particulières très dynamiques.

Je peux dire aujourd’hui que ces pratiques sont celles qui commencèrent à briser ma coquille tout en m’ouvrant de manière stupéfiante aux multiples réalités subtiles.

Un voyage enseignant

Ma soif de l’inconnu était loin d’être abreuvée et vibrait encore en moi l’envie de découvrir d’autres aspects initiatiques de la vie. L’univers me le proposa en fin d’études par une pluie ininterrompue qui dura pendant plus de 2 mois !
Devant me changer deux fois par jour et souvent remettre des vêtements encore mouillés pour aller travailler, je dis à l’univers que s’il continuait encore à pleuvoir pendant 1 semaine je quitterais la région bretonne définitivement !
Il m’avait entendu ! La pluie continua encore pendant 2 semaines…

Après mes examens réussis, je pris alors un billet d’avion « aller sans retour » pour Rio de Janeiro au Brésil ! Je partis alors pour une longue traversée de l’Amérique du Sud à pied et en stop…

Cette aventure me permit d’entrer en contact avec bien d’autres cultures, de connaître et de vivre auprès de nombreux chamans et initiés dans la forêt équatoriale ainsi que dans les hauteurs perdues de la cordillère des Andes.

J’ai même trouvé le moyen de me perdre pendant plusieurs jours dans la forêt amazonienne ! La vie ne manque pas de moyens quand nous décidons d’apprendre à nous connaître et a priori j’avais décidé de l’éprouver dans la difficulté ! Je ne revins que plus de 2 ans plus tard, après avoir visité et travaillé dans de nombreux pays sur la route…

Le désir d’une autre vie

C’est en Ardèche que j’élus domicile avec ma compagne. Nos chemins aventureux s’étaient croisés dans les montagnes boliviennes pour tenter amoureusement de n’en faire qu’un. Nous avions à coeur de construire un nid qui nous correspondrait et nous permettrait d’être proches de la nature.

Nous avions parcouru tout le sud de la France en prenant de nombreux critères en compte et en restant vigilants aux signes et aux synchronicités qui nous indiqueraient le lieu le plus adéquat.

C’est dans un petit coin de montagne sauvage au milieu de forêts de châtaigniers que nous avons trouvé ce lieu propice au calme, que nous recherchions.

Nous vécûmes plusieurs années au milieu des bois dans une yourte que nous avions construite avec les matériaux qui nous semblaient les plus adéquats. Là… nous ne sommes pas très loin du cliché de la petite cabane de la forêt de brocéliande !

J’avais monté mon entreprise de paysagiste qui fonctionnait très bien. Durant cette période mes pratiques étaient plus profondes et mes expériences commençaient à me laisser entrevoir l’esquisse du chemin vers lequel la vie m’emmenait à son rythme…

Mais surtout, elles commençaient aussi à me montrer leurs limites et mettaient le doigt sur un vrai travail intérieur qui devait être fait pour continuer à grandir. Moi qui avais imaginé que mes pratiques méditatives, à elles seules, pouvait me permettre d’ouvrir les espaces auxquels j’aspirais ! Je me mettais le doigt dans l’oeil !

Bien que timide dans l’idée de me livrer, de déballer mes blessures cachées à autrui, j’y étais prêt et m’attelais sérieusement à un développement personnel en acceptant un vrai accompagnement thérapeutique.

Comme les arbres qui entouraient notre petit nid, je continuais à grandir à mon rythme et fus aidé pour cela par de nombreuses rencontres sur ma route…

La rencontre avec le divin

Après quelques années, nous avions vécu le chemin que nous devions parcourir ensemble et nous décidâmes d’un commun accord de poursuivre notre chemin chacun de notre coté. Je restai vivre sur le terrain.

Je jardinais beaucoup dans des propriétés secondaires isolées dans la montagne, et il m’arrivait de ne voir personne pendant plusieurs jours ; mes pratiques purent alors s’intensifier. Cette période enchantée marqua la fin d’un cycle et le début d’un changement total dans ma façon d’appréhender la méditation et mes pratiques quotidiennes.

Les expériences étaient de plus en plus fortes, je commençais à vivre mes premières profondes montées de Kundalini. Ce fut pour moi une époque d’effondrement de mes systèmes intérieurs et sans aucun doute de profondes révélations intérieures.

Mes moments de méditation s’étaient transformés en moments d’extase dans lesquels je pouvais rester plusieurs heures et oublier toute réalité extérieure.

Mes méditations s’étaient transformées en douces et puissantes descentes de lumière qui finissaient parfois, au bout de plusieurs heures, par me mettre soit KO pour la journée, soit me donner une énergie parfois difficilement canalisable ! Ces expériences me mirent en contact avec une bienveillance « consciente », un infini « aimant » ; en cela je qualifierais cette période de première vraie rencontre avec le divin.

J’utilise ce mot « Divin » pour exprimer cette grâce vivante avec laquelle je fus mis en contact au centre de mon cœur et aussi par les expériences mystiques que je vécus pendant tous ces mois dans des plans supérieurs de conscience.

J’avais déjà considérablement développé de nombreuses capacités subtiles et ce fut le début d’un « chemin » vers quelque chose qui n’était plus de l’ordre des myriades d’expériences et de voyages dans des mondes les plus étranges les uns que les autres, mais vers une rencontre plus intime avec ce que nous sommes dans notre essence.

Parce que ne nous y trompons pas ! Les exercices de développement des capacités subtiles ne constituent pas une fin en soi, mais ils peuvent être une voie pour perméabiliser notre conscience ordinaire à une conscience plus haute et plus profonde. Cette période est sans aucun doute celle qui a fait naitre en moi la Foi profonde en une présence qui écoute, veille, guide et aime inconditionnellement …

L’enseignement des mondes subtils

Je me souviens encore, lorsque j’avais 15 ans, de soirées dans la forêt où je m’habillais avec des plumes et des peaux de bêtes et jouait de la guitare et des percussions toute la nuit avec mes amis. Il est vrai que le cliché fait un peu hippie !

Mais à vrai dire je n’en étais pas loin et nos activités, un peu marginales certes, étaient au fond animées d’une intention encore fraîche et maladroite de nous unir et de « vibrer » au mieux avec ce que nous connaissions de la nature.

Il est vrai qu’ à cette époque, mes seules envies tendaient vers l’apprentissage de l’école buissonnière et sans m’en rendre compte, les buissons étaient rapidement devenus forêt !
Malgré mon potentiel, mon manque d’intérêt pour l’école avait pris une proportion telle, que plus grand chose n’avait d’ importance et j’avais l’intime conviction que ce n’était pas sur ce sentier déjà tout tracé que la vie à laquelle j’aspirais m’attendait …

La forêt se densifiait au fur et à mesure des rencontres…
Pourtant mon envie d’apprendre était grande et bien que je ne savais pas ce que je voulais, je savais ce que je ne désirais plus ! Je voulais découvrir la magie de la vie et pour cela je devais découvrir d’autres horizons pour mieux apprendre à me connaître.

Un travail pour la terre

Pendant plusieurs mois, se présentaient à moi, chaque jour, des présences différentes qui m’enseignaient sur la nature de la conscience et les forces de la nature.

Cette période nécessita une grande épuration intérieure et cela ne fut pas une époque des plus faciles ! De grandes présences me prirent en charge et cela mis en lumière mes déséquilibres et me demanda de faire face à mes plus grandes peurs.

Je peux vous dire que l’on peut ne pas s’ennuyer même seul dans les montagnes !

Cette initiation compte parmi celles qui furent décisives dans mon envie d’oeuvrer pour la terre et de sentir en moi le germe vivant de cette possibilité.

Leur proposition était de me former à un partenariat avec les esprits de la nature, mais pour cela je devais apprendre à mieux les connaître et apprendre à mieux utiliser mes corps subtils.

Il m’apprirent à collaborer dans le respect de la nature et m’entraînèrent à nettoyer certaines vallées, rééquilibrer des espaces naturels perturbés et harmoniser certains lieux.
Je dus m’intéresser à cette époque aux techniques d’harmonisation de l’habitat (géobiologie) pour comprendre ce qui se faisait dans le « milieu » et réaliser que cela faisait malheureusement figure de préhistoire par rapport aux possibilités que pouvait offrir un vrai partenariat avec les forces de la nature.

Ce manque de reliance avec la nature (en géobiologie) m’apparaîssait presque primitif et trop mental compte tenu de l’ampleur des complexités vibratoires que je pouvais constater.
C’est ainsi qu’est née l’approche que j’ai appelée par la suite Holosynergie.

Une collaboration du nouveau millénaire

Ce partenariat ne s’arrêtait pas aux esprits de la nature, mais prenait en compte de nombreux plans de conscience ainsi qu’une vraie collaboration avec les présences des plans de lumière.

L’Holosynergie s’avérait être une véritable orchestration d’informations à transmettre sur différents plans afin que les interventions puissent être harmonieuses et ordonnées.
Ce fut une époque ou je constituais des « équipes » sur différents plans de conscience dans l’optique d’offrir les meilleurs qualités de chacun dans les espaces où il nous était proposé d’intervenir.

Cela peut sûrement paraître fou pour certains d’entre ceux qui lisent ces lignes!

Ce fut pourtant mon quotidien pendant de nombreux mois, les résultats étaient stupéfiants et changeaient les choses de manière vraiment concrète après chacune de nos interventions.

Un changement de cap

Je travaillais beaucoup la terre mais dû trouver le temps pour construire tout seul une belle maison ossature en bois, qui pris sa place sur le terrain qui domine la vallée.

De nombreuses personnes commencèrent à me contacter, demandant de l’aide pour la compréhension des problèmes qu’ils pouvaient vivre sur leur lieu et afin d’y remédier.

Mon partenariat avec les esprits de la nature se diversifia aussi bien pour intervenir sur un terrain en construction, une maison, un appartement ou en entreprise.

Mon initiation continua par des enseignements plus complexes et offrant des possibilités beaucoup plus larges.
Comme dans toute discipline, l’enseignement s’adaptait à mon altitude, ma largeur et ma profondeur d’esprit du moment.
Cet enseignement ne s’arrêtait pas à la seule collaboration mais couvrait aussi la compréhension et la mise en relation avec de nombreux plans de création ainsi qu’une approche beaucoup plus globale de l’évolution de la conscience que celle que nous connaissons.

Une spiritualité naissante

Etant très autodidacte dans ma manière d’apprendre et de vivre les choses, il m’a toujours été nécessaire d’éprouver complètement ce à quoi j’aspirais et d’essayer de me donner tous les moyens pour cela. Toutes mes pratiques m’avaient ouvert les portes de possibilités qu’il me fallait à présent véritablement faire fleurir en moi.

Cette chance de pouvoir vivre ces rencontres subtiles et d’oeuvrer grâce à ce partenariat ne constituait pas non plus une fin en soi. Au contraire mon aspiration profonde envers le divin, ne faisait que grandir de jour en jour…

Je pris le temps de voyager et de partir à la rencontre de quelques enseignants éveillés et maîtres réalisés. Bien que j’étais assidu et passionné par toutes mes lectures traitant de spiritualité, d’éveil, de réalisation .. tout ce qui fait rêver et même parfois stagner un aspirant spirituel! Cela ne suffisait pas.

Il me fallait aller à la rencontre de la Terre d’où viennent des enseignements millénaires et accessibles qui véhiculent l’épanouissement des plus belles valeurs de l’homme… L’Inde.

La vie, à l’écoute de nos souhaits profonds, sait agir dans les profondeurs et incarner ce dont nous avons besoin. Elle s’organisa cette fois-ci pour me mettre, peu de temps après, un livre de Sri Aurobindo dans les mains.

Cette lecture fut pour moi une source de grand éclaircissement. Je vis dans son enseignement toutes les étapes par lesquelles j’étais passé et une grande partie de la mécanique subtile que j’avais déjà appréhendé.

Cela fut si clair, si évident.. son enseignement intégrait aussi bien les expériences mystiques, que l’énergie, les forces de la nature et le divin dans ses plus bas et ses plus hauts aspects ainsi que l’impersonnalité de l’être; son travail est la synthèse d’une connaissance profonde de toutes les traditions du monde.

Bien sûr, j’étais loin de ses expériences et réalisations mais j’y sentais une vérité sur laquelle je n’avais pas encore pu mettre de mots.

Ses ouvrages traitaient d’une vision intégrale de la vie, hors dogme, religion ou lignée spirituelle et offraient une vue profonde sur des espaces de réalisation qui n’entrent pas encore dans le champ de nombreuses traditions spirituelles.
Et Dieu sait si par passion, je n’avais pas déjà écumé de nombreux traités et des centaines de livres sur les courants mystiques traditionnels, religieux et de tous types de spiritualités !

C’était décidé, cette lecture venait d’ achever ce qui en moi résistait encore à un nouveau voyage et m’avait convaincu de partir pour un nouveau périple. Je partis pour quelques mois, direction l’Inde… Le Golfe du Bengale !

Une spiritualité naissante

L’Inde est un pays particulier, empreint d’une magie rare et ceci est encore palpable à notre époque.

Sur cette terre sacrée, qui m’attire encore chaque année, j’ai pu rencontrer des maîtres de nombreuses traditions et recevoir les conseils de certains avec qui je me suis lié d’amitié et reste en contact aujourd’hui.

Bien que mes pratiques continuent de m’offrir de profonds changements intérieurs, ma recherche s’est transformée en une acception profonde de la vie et ma posture intérieure se tente à un abandon de plus en plus profond au Divin.

Transmission

Ma vision de la spiritualité est aujourd’hui quelque chose de simple et d’accessible car la vie est spirituelle par nature.
Notre plus grande difficulté est souvent d’arriver à faire la paix avec nous-même, avec la vie en général et d’avoir confiance dans le fait que tout cela a un sens.

Quand nous avons franchi cette étape, nous pouvons alors réaliser que nous ne pouvons grandir que dans la relation.. la relation à soi, celle avec le divin et surtout celle qui vient souvent en dernier et la plus importante, la relation sincère avec l’autre.
Cette dernière est la plus difficile mais aussi celle qui nous fait le plus grandir.

Il n’y a pas de danger à apprendre à s’accepter. Il peut être sécurisant de sentir à quel point nous sommes aimés par le divin, mais il nous paraît dangereux de nous ouvrir à l’autre et de nous sentir vulnérable quand nous lui ouvrons notre coeur.
La spiritualité se situe au coeur de cette entreprise et les diverses techniques et méthodes tentent de nous offrir des moyens pour apprendre à vivre mieux et à approfondir ces différentes relations.

Trouver un équilibre est un travail de tous les jours et l’évolution de notre conscience est infinie par nature.

Voici une vidéo pour tous ceux qui veulent en savoir plus...

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